La poésie a été ma première porte d’entrée dans la littérature, quand j’ai commencé à écrire.
La poésie c’était, pour moi, une langue naïve ou écorchée vive, rêveuse ou militante, belle ou surannée.
Qui sont les poéte·sses d’aujourd’hui? Quel est-il, ce drôle de métier, dont nous avons même une représentante nationale en la lumineuse personne de Lisette Lombé?
En déambulant dans le microcosme poétique belge, je rencontre de nouvelles plumes et j’ai la grande envie de parler avec celleux – poét·esses ou slameur·euses – dont les mots et les univers s’amusent à réinventer la langue française.